VDI COSMETIQUES BIO Vente en Réunion et Travail à Domicile Cosmétiques Parfums Frédéric M vendeuse cosmétique

http://vdi.cosmetiques.bio.free.fr/

VDI et L'ANPE (Emploi VDI)

fredericmpartenaire.jpg                            VDI ET LE CHOMAGE              fredericmpartenaire.jpg

 

 

CUMUL DE L'EMPLOI ET ALLOCATIONS CHOMAGE : C'EST POSSIBLE !!!!!



L'activité de Vendeur à domicile Indépendant ou de VRP à temps partiel peut se cumuler avec la perception des allocations mensuelles de chômage. Pour en informer ses adhérents, la Fédération Vente Directe a édité un document d'information.

2 conditions doivent être réunies :

Ne pas gagner dans le mois plus de 70% du salaire antérieur sur lequel l'allocation de chômage a été calculé,

Etre inscrit sur la liste des demandeurs d'emploi et rechercher de façon effective et permanente un emploi.

Toute notion d'heure de travail est écartée pour les VDI.

Comment se calcule l'allocation ?

Lorsque les gains ne dépassent pas ces 70%, L'ASSEDIC calcule un certain nombre de jours au cours du mois qui ne peuvent pas être indemnisés. Ces non indemnisés ne sont pas perdus, mais reculent d'autant la fin de l'indemnisation. Pour les personnes agées de plus de 50 ans, une minoration de 20% est appliquée sur le nombre de jours non indemnisables, donc une prolongation moins importante du temps d'indemnisation.

Les Revenus pris en compte :

Si vous ne dépassez pas le seuil de 70%, l'ASSEDIC calcule le nombre de jours au cours du mois (J) qui ne peuvent être indemnisés :

Rémunération brute mensuelle procurée
par l'activité reprise à temps partiel
J = _________________________________

Salaire journalier de référence retenu par l'ASSEDIC
(qui figure sur la lettre de notification des droits)


Les jours non indemnisés ne sont pas perdus, mais reculent d'autant la fin de l'indemnisation. Lorsque la rémunération n'est pas versée mensuellement, les sommes perçues sont ramenées à une période mensuelle pour le calcul du nombre de jours non indemnisables. Ce décalage est opéré sur le mois en cours et les deux mois suivants si les rémunérations sont versées trimestriellement.

Pour les Vendeurs à Domicile Indépendants, afin que leurs revenus réels soient pris en compte, ils doivent faire référence à la circulaire n° 01-10 qui prévoit "sur demande expresse de l'allocataire et sur présentation de justificatifs, une base forfaitaire différente pourra être appliquée et ce afin d'éviter une régularisation trop importante. En effet, certaines personnes ont la possibilité d'obtenir, sous certaines conditions, des organismes dont ils relèvent la fixation d'une base forfaitaire provisionnelle inférieure.
Les revenus, réels ou déterminés sur la base de l'assiette forfaitaire, sont divisés par 12 pour calculer la rémunération théorique mensuelle"

Combien de temps peut-on cumuler ?

Le maintien partiel des allocations ne peut se prolonger plus de 18 mois . Au delà, l'ASSEDIC cesse de vous verser l'allocation de chômage.

L'ASSEDIC peut ouvrir de nouveaux droits en fonction de la nouvelle activité salariée (pour les VRP uniquement) dans la mesure où vous remplissez des conditions d'admission, notamment celle relative à la durée du travail.

La limite de 18 mois ne concerne pas les personnes âgées de 50 ans ou plus, ni les personnes qui bénéficient d'un Contrat emploi solidarité.


Consultez les textes UNIjuridis sur le site : http://www.assedic.fr/assedic/assedic.portal

SOUTIEN_ANPE.jpg

La vente à domicile

Un Français sur cinq achète à domicile au moins une fois par an. Le secteur de la vente directe, qui compte aujourd’hui 300.000 professionnels, est en pleine expansion et s’adresse à tous types de profils.
Porte-à-porte, vente sur rendez-vous, vente en réunion... Autant de méthodes de vente qui ont en commun de pénétrer chez les clients, dans le but de repartir avec un bon de commande signé. Mais la vente à domicile ne ressemble plus guère aujourd’hui au cliché du vendeur qui met le pied dans la porte et vous force presque à acheter un ustensile dont vous n’avez pas besoin. Les méthodes ont changé, insistant plus sur le ciblage et la fidélisation. Et ça marche ! « Le secteur est en pleine croissance, avec 8 à 10 % d’augmentation du chiffre d’affaires par an, et 10 000 emplois créés chaque année, à temps partiel ou à temps plein », affirme Jacques Cosnefroy, délégué général de la Fédération de la vente directe (FVD).

Plusieurs raisons expliquent le renouveau de ce secteur. D’abord, « il permet à de nombreuses sociétés de proposer des produits novateurs au grand public », estime Jacques Cosnefroy. Aliments bios ou diététiques, cosmétiques, lingerie, décoration d’intérieur... Tous ces produits et services trouvent une nouvelle clientèle grâce à la vente directe. Ensuite, ce secteur offre une multiplicité de statuts, adaptés à tous les profils. Les vendeurs peuvent être salariés (V.R.P. ou représentants non statutaires) ou indépendants. Pour ceux dont l’activité de vente directe est occasionnelle, un statut très avantageux et très souple de vendeur à domicile indépendant (VDI) a été créé il y a dix ans. « C’est intéressant dans le cadre d’une reconversion par exemple, car on peut cumuler la vente directe avec un autre emploi ou avec des indemnités Assedic », précise Jacques Cosnefroy.
 
http://webtv.anpe.net/actualites.php?idv=307


La vente en réunion remise au goût du jour
Autre raison de cet attrait pour la vente à domicile : tout le monde, quel que soit son âge et sa formation initiale, peut travailler dans ce secteur, puisque les entreprises prennent en charge gratuitement la formation de tous leurs vendeurs et n’hésitent pas à donner leur chance à des profils atypiques. Enfin, la vente directe ne se développe plus seulement en milieu rural, où elle a longtemps été cantonnée : elle arrive aujourd’hui en milieu urbain, où elle séduit par son aspect convivial.

Car les approches ont elles aussi évolué. « Parmi nos entreprises adhérentes, le porte-à-porte est en nette perte de vitesse. La vente en réunion, en revanche, se développe fortement », note Jacques Cosnefroy. C’est le fameux concept des « réunions Tupperware », remis au goût du jour pour des produits généralement achetés par des femmes et qui nécessitent une démonstration (la lingerie notamment).

Ce 3e canal de distribution, derrière la vente en magasin et la vente par correspondance, en forte croissance également chez nos voisins européens, semble donc très porteur d’emplois pour les années à venir. La FVD devrait d’ailleurs bientôt signer une convention avec le gouvernement s’engageant à créer 100 000 emplois dans les trois ans.
Pour accéder au site de la Fédération de Vente Direct: www.fvd.fr   
              
FEDERATION_VENTE_DIRECTE.jpg